Nous sommes nés pour vous divertir !
Les compères de la Cie du Petit Grimoire maîtrisent la jonglerie et la percussion à un tel point qu’ils peuvent réaliser d’improbables prouesses médiévales. Ils ont pour habitude de faire résonner le son parfait, inviter le soleil dans la pénombre ou encore transformer le vulgaire métal en or. Généralement, lors d’une animation médiévale féérique, ils proposent des déambulations en différentes ambiances (décalée, déjantée, poétique, énergétique, …). Ils entrecoupent ou ponctuent l’événement par un spectacle absurde et burlesque (en journée), un spectacle lumineux (led) ou un spectacle de feu. De plus, un repas peut aussi être subtilement interrompu par des intermèdes de quelques minutes.
Origines
La rencontre de leurs univers artistiques a naturellement poussé Stéphane Borel et Manuel Gleyre à créer cette compagnie en 2013. Les deux compères ne se lassent pas de présenter leurs instruments atypiques face à un public médusé et incrédule.
Ces 2 artistes expérimentés ont participé à de nombreux projets en suisse et dans le monde. Ils ont décidé d’unir leurs deux arts, la musique percussive et la jonglerie, à travers le mouvement théâtral et l’utilisation d’objets insolites. Ainsi, ils immergent leur public dans un monde de rêverie médiévale, utilisant l’alchimie comme un levier. Cependant, leurs performances s’intègrent parfaitement dans une fête médiévale, une animation privée (en château ou ailleurs), un festival d’art de rue, un marché ou une fête d’une journée. En plus de cela, un vieux mur, une ambiance forestière peuvent embellir et démultiplier la magie qu’ils dégagent.
Actualités
La Cie du Petit Grimoire a créé une nouvelle performance nocturne faite d’incantations lumineuses et de rythmes furtifs. Ce moment féérique s’intitule »Illuceo » et la première a eu lieu à la fête médiévale de Grandson.
Un nouveau projet est en cours de création dans une version plus contemporaine, où les personnages se sont fait dérober leur vêtements moyenâgeux. Ils s’habillent, à leur tour, des tenues costards-queue de Pie des musiciens classiques qui les ont précédés. En guise de couvre-chef, il utilisent un casque de chantier. Ils subtilisent tout ce qu’ils découvrent en ce 21e siècle, pour les détourner en percussion ou objet de jonglage. Voici quelques captations parues dans le journal de Morges.